Mobilité locale et longue distance
Les modes de transport motorisés nécessitent pour la plupart des énergies fossiles (pétrole, gaz, kérosène) qui se raréfient, demandent de plus en plus d’énergie à l’extraction et produisent des pollutions environnementales considérables.
La généralisation de la possession d’un véhicule personnel décuple le nombre de voitures en circulation, avec une multiplication de l’énergie dépensée et des matières premières utilisées.
La voiture reste majoritaire dans les déplacements intra-urbains de moins de 3 kilomètres, bien qu’elle ne soit ni la plus économique, ni la plus rapide.
Les modes doux (marche, vélo) ainsi que les transports en commun sont encore peu utilisés, malgré leurs faibles impacts environnementaux.
La voiture électrique n’est ni économique, ni écologique. De plus, elle justifie l’utilisation du nucléaire car elle nécessite d’énormes quantités d’énergie.
Les déplacements en longue distance se font de plus en plus fréquents. Ils sont dominés par l’avion et la voiture, moyens de transport qui polluent le plus. Le train, qui compte pour 16 % des distances parcourues, ne comptabilise que 9 % de l’énergie finale dépensée et n’est responsable que de 1 % des émissions de CO2.
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